On entend beaucoup parler d’intégration, d’immigration, d’identité, bla bla bla… Mais imaginons un instant que les rôles soient inversés et que nous devenions ceux qui, avec notre ouverture d’esprit et notre absence totale de préjugés, doivent oublier notre baguette et notre pinard pour bouffer du loukhoum ou boire de la vodka, qu’en serait-il ? A la veille de devenir nous-même les étrangers, les immigrés, cela déclenche quelques réflexions…
Avec Madelon nous sommes allés au Liban une dizaine de jours pour profiter de ma famille avant le grand saut canadien… L’autre jour, j’ai eu droit à un cours de cuisine libanaise dispensé par ma téta (ma grand-mère). Nous avons préparé du loubieh, des haricots plats en sauce qui se mangent froid ou chaud, en fonction des envies. En voici la recette (facile) pour les gourmands !
Nous étions pleins de bonne volonté à vouloir élaguer un maximum, mais outre le fait qu’il soit parfois douloureux de se séparer de certaines choses, nous avons des affaires que nous allons de toutes façon devoir racheter une fois sur place : Casseroles, vaisselle, draps, quelques jeux, 2-3 souvenirs, … Ca va vite mine de rien. La question que nous nous sommes posés c’est si ça coûte plus cher de racheter ou de déménager nos affaires ? Et quel est le meilleurs moyen de les déménager ?
Une publicité de l’agence canadienne de l’immigration… De circonstance !
Bon ok elle était facile celle-là Cet article sera court et vise principalement à alerter sur les incompatibilité entre l’alimentation électrique en Amérique du nord et les appareils européens. Car non, la forme de la prise de courant n’est pas le seul obstacle…
Vous l’avez sûrement vu passer, ou vous en avez entendu parler… Je ne peux résister à la tentation de partager ici malgré un temps de retard, un exemple d’humour canadienne au travers de la publicité. Une campagne de sensibilisation à la prévention du cancer des testicules. Pour nous. Les hommes.
Comme le dit le grand sage Roland Magdane : « Dans la vie, plus on a de merdier plus on est CONtent ». Le problème, c’est que quand on choisit de partir ce merdier devient vite encombrant. Livres, dvd, habits, électroménager, … Au secours !
Bon, nous ne sommes pas au niveau des 12 travaux d’Astérix, mais tout de même cela peut sembler compliqué de remplis les formalités pour émigrer au Canada. PVT, résidence permanente, permis de travail, … Comment démêler tout ça ?
Ça y est, Madelon a eu sa réponse de l’université de Montréal : nous partons au Canada. Entre ce départ et le mariage à venir, il va falloir s’organiser un peu… Pour commencer, un peu de lecture pour comprendre où nous mettons les pieds mais surtout pour pouvoir mieux s’adapter une fois sur place : les coutumes, les habitudes… On n’est pas chez mémé, il faut voir comment fonctionner sur place !
